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Anastasis

20.00

Que feriez-vous si un étudiant français vous annonçait qu’il était le messie, de retour sur terre ? Comment réagiriez-vous si cela se passait à Jérusalem et qu’il accomplissait des miracles ?

Un tel phénomène ne passe pas inaperçu. Il est même monté en épingle par le truchement des réseaux sociaux.

Un tel retour serait-il synonyme de paix sur Terre ou, au contraire, le début d’un conflit aussi grave qu’une crise nucléaire ?

La réunion de trois hommes extraordinaires sera nécessaire pour découvrir une réalité au-delà de tout ce que l’on pourrait imaginer.

Compartiments suspects

12.90

En ce mercredi noir de l’an 2000, à la SNCF, les banlieusards et provinciaux de la vallée de la Saône sont invités à prendre place dans le Paris-Bâle.
Ils n’ont aucune idée de ce qu’ils vont vivre à bord de cet express qui ne s’arrête pas.

Le grand carnassier blanc frappadingue, à la longue tignasse de feu, professionnel de la violence, qui terrorise les voyageurs, que fait-il dans le train ? Et qui a tué le magnifique balaise ébène ?

Le commissaire suisse, aseptisé, téléguidé, qui monte dans le train, suivi de ses inspecteurs attachés à ses guêtres, qui va procéder à l’enquête préliminaire, n’imagine pas ce qui l’attend et, surtout, qu’il va être confronté à un cas de conscience…

Ce livre renferme l’art de décrire des faits tragiques de façon comique.

Crépuscule (demain est une autre nuit)

15.90

Plusieurs meurtres sans aucun lien apparent. Un SDF, ancien entrepreneur projeté à la rue après la liquidation de son entreprise, une jeune directrice d’un foyer social, un policier et un magistrat attachants dans leur vie de tous les jours, comme dans la difficile conduite de l’enquête. Voilà la ligne directrice de ce polar social axé sur le monde parfois impitoyable des affaires, mais aussi de la vraie vie.

Un premier meurtre, propre et efficace, qui semble avoir été réalisé par un professionnel, qui touche une magistrate de funeste réputation, décriée et détestée par ses collègues, et chargée de la gestion des entreprises en difficulté.

Puis les chapitres s’enchaînent et plongent le lecteur dans le vif du sujet. D’autres meurtres sont perpétrés, des assassinats à différents endroits, avec des modes opératoires brutaux, mais distincts, et un seul lien : des intervalles très rapprochés. Quelqu’un avait décidé de laver le linge sale. Qui ? Pourquoi ? L’équipe de Martin Moine du SRPJ devra faire face à l’une des affaires les plus affligeantes et sûrement la plus douloureuse de sa carrière. Un père et un fils seront réuni dans une fin tragique, laissant les autres personnages face à leur quête de responsabilité.

Dentelle et salopette

21.00

Au moment de refermer les volets de la vieille bâtisse, la narratrice se souvient… Elle a 5 ans. Années 60.

Au manoir, le dimanche, elle s’appelle Lucienne, fille d’Emile Marsignac, riche industriel de l’Angoumois, un homme austère et distant qui la terrorise et jamais aucun mot n’est prononcé sur les absences prolongées de sa mère.

En semaine, chez Mamé sa nourrice, on l’appelle Lulu et elle grandit libre au sein d’une famille bigarrée et exubérante. Il y a Paulo et Monique, les petits de l’assistance publique, Rodolphe le petit prince noir, Tatiche la douce et Solange qui règne sur la tribu. Il y a aussi Riri, Tintin, Youpette et tous les autres.

« Ainsi, j’avais deux maisons, deux vestiaires, deux familles, deux dictionnaires et il me fallait sauter entre deux mondes… l’un tout chaud comme un marron, l’autre en eau comme un glaçon. Ça embrouille tout ça. Alors, je trouve que je ne méritais pas de me faire enguirlander quand il m’arrivait de me mélanger les pinceaux. C’était mon avis et aussi celui de Paulo qui disait : T’as qu’à le renvoyer chier ton père… »

C’est le récit coloré d’une enfance qui se perd entre deux univers. C’est le roman de l’abandon, de l’absence, du chagrin traversé de fulgurants éclats de joie et de bonheur. C’est aussi la peinture d’une société corsetée de morale en train de changer. Comme Lulu, on passe du rire aux larmes et de la gravité à la légèreté. Comme Lucienne, on regarde l’enfant que l’on fut et l’adulte qui est devenu. Comme dans la vie en sorte.