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Crépuscule (demain est une autre nuit)

15.90

Plusieurs meurtres sans aucun lien apparent. Un SDF, ancien entrepreneur projeté à la rue après la liquidation de son entreprise, une jeune directrice d’un foyer social, un policier et un magistrat attachants dans leur vie de tous les jours, comme dans la difficile conduite de l’enquête. Voilà la ligne directrice de ce polar social axé sur le monde parfois impitoyable des affaires, mais aussi de la vraie vie.

Un premier meurtre, propre et efficace, qui semble avoir été réalisé par un professionnel, qui touche une magistrate de funeste réputation, décriée et détestée par ses collègues, et chargée de la gestion des entreprises en difficulté.

Puis les chapitres s’enchaînent et plongent le lecteur dans le vif du sujet. D’autres meurtres sont perpétrés, des assassinats à différents endroits, avec des modes opératoires brutaux, mais distincts, et un seul lien : des intervalles très rapprochés. Quelqu’un avait décidé de laver le linge sale. Qui ? Pourquoi ? L’équipe de Martin Moine du SRPJ devra faire face à l’une des affaires les plus affligeantes et sûrement la plus douloureuse de sa carrière. Un père et un fils seront réuni dans une fin tragique, laissant les autres personnages face à leur quête de responsabilité.

La tour

18.00

En quelques semaines, des dizaines d’entreprises, des centaines d’ouvriers l’ont déshabillée, mise à nue. Les artificiers ont percé des centaines de poches pour installer plus de trois cents kilos d’explosif et câbler deux mille détonateurs répartis dans tous les étages, caves comprises. Le costume de sa mise à mort était prêt à être enfilé sous le regard de ses anciens habitants, qu’une sorte de culpabilité invitait à garder la tête basse… S’ils devaient rendre des comptes il faudrait révéler l’inracontable.

La foule se figea quand les haut-parleurs, commencèrent le compte à rebours.

6-5-4…

— Il y a quelqu’un là-haut, arrêtez tout ! cria un homme, repris ensuite comme un écho par cinq, puis par vingt, puis par tous ceux dont les regards suivaient les bras tendus vers la tour.

3-2-1…

À l’annonce du zéro, on put entendre le silence. Cette absence totale de bruit qui parfois se fait insupportable, et s’introduit dans les têtes, à en devenir étrangement insoutenable.
Bienvenue à la tour. Le bien et le mal ? Ce n’est finalement qu’une question de point de vue. Louis Merveilleux.

L’auteur signe ici son quatrième roman. La tour est un thriller où le plus beau côtoie le pire, où jamais rien ne semble définitif, où le bien et le mal combattent parfois à armes égales. Attachants ou détestables, les personnages vont participer à la fin tragique de leur propre univers : celui de la tour.

Ultime partition

18.90

Charles, jeune retraité du service action de la DGSE, ne soupçonne pas combien sa rencontre avec ce jeune homme, un peu embarrassé, silhouette élégante, et petites lunettes à la John Lennon, va compter dans sa nouvelle vie de romancier.

Pour remplir son contrat, il devra plonger dans un nouvel univers. Celui du succès et du déclin d’une intense période musicale et sociale.
Charles va s’immerger dans la folle aventure du Revolver Band, un groupe, que cette musique, maudite par les générations conservatrices, entraînera sur le fil du rasoir jusqu’au désastre annoncé, faisant poindre les pleutres, les salauds, les faibles, les manipulateurs, mais aussi la force d’âme et la bravoure.

De Paris aux rives du Mississippi, il devra partager les drames des destins qui s’entrechoquent. Celui de Martin, son ami, un ancien flic, celui de Simon, obscur et troublant enfant abandonné, celui de Susy, junky repentante, celui de James, manager véreux tombé dans les griffes des maffieux. Au bout de la route tous seront face à une manipulation façonnée avec soin et poussée à son paroxysme. Celle de Simon dont la courte vie ne fut qu’une tragédie