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L’oeuvre de Balilla

16.00

« J’ai fini par demander à papa comment je saurai que je suis devenu un homme ? Papa a éclaté de rire et m’a répondu qu’il n’y a rien de plus simple : tu dois juste avoir couché avec une femme à 15 ans et tué ton premier homme à 20, comme je l’ai fait »…

Fils d’un officier des services secrets de Mussolini, Bartoloméo est enrôlé dans les « enfants de la louve » dès l’âge de 6 ans. Le jeune garçon prend progressivement conscience de la monstruosité des idéaux et des actes paternels entrainant un conflit inévitable avec son géniteur qui se soldera, en 1945, par la mort violente de ce dernier.

Des années plus tard, Bartoloméo, qui vit désormais en France, est un homme démoli par l’alcool et les remords. Suite à une nouvelle tentative de suicide, il est orienté vers une clinique de soins où il va faire la connaissance d’une jeune femme étrange dont les antécédents familiaux, comme la haine affichée vis-à-vis de ses parents, vont réactiver des souvenirs refoulés.

Entrainé presque contre lui dans le tourbillon de cette histoire en miroir, Bartoloméo sera bientôt confronté à des choix douloureux en étant amené à définir ce que sont les « monstres » et le sort qui doit leur être réservé, pour peut-être enfin solder le passé…

La fissure

14.00

Sonia, jeune adulte rebelle qui étouffe dans son cocon familial qu’elle juge trop traditionnel, décide, sur un coup de tête, de tenter sa chance à Istanbul. 

Après un silence total de deux années, doublé de désillusions, Sonia décide de rentrer au pays. Mais durant son absence, les liens familiaux se sont déchirés. Les retrouvailles ne sont pas aussi euphoriques que prévues. Sonia a muri, son frère a tourné la page et sa mère l’a rayée de sa vie.

Remords pour les uns, vengeance pour les autres, ou pardon pour tous.

Une analyse de relations houleuses inévitables entre générations, conflits incontournables entre parents et ados, alternance de souffrance et de tolérance, jusqu’à ce que chacun trouve sa juste place.

La messagère de verre

15.00

Herveline a disparu corps et biens alors qu’elle naviguait dans le golfe de Gascogne. Des mois après le présumé naufrage, Loïc le skipper refuse d’admettre l’insupportable sentence, sa compagne ne reviendra pas.

Estelle, 17 ans, s’estime prisonnière à bord de l’Albatros, un luxueux ketch de trente-et-un mètres appareillant pour un tour du monde à la voile

Rien ne destinait ces deux-là à se rencontrer, pourtant une mystérieuse messagère va les réunir sur le voilier.

À bord d’un navire frappé d’une étrange malédiction, le skipper désespéré, les quatre membres d’une famille en souffrance, embarquent pour une odyssée voguant entre réel et fantastique. Contraints par le vaisseau de mettre leurs plaies à nu, ils vont devoir affronter les colères de l’océan mais aussi l’enfer d’un huis clos s’évertuant à débusquer les vérités inavouées.

Le comte foudroyé

13.00

Ce récit est celui d’un coup de foudre ! Intense, incontrôlable ! Ce choc va plonger notre héros, un comte sévillan désargenté, dans un voyage à travers l’Europe des « années folles » où sa vie va se mélanger avec celles de trois autres personnages. Leurs existences convergeront lors d’un final inattendu.

Mais, le « comte foudroyé » est aussi un roman sur les rêves dont nous nous sommes encombrés. Ceux qui nous font percevoir le monde tel que nous souhaiterions qu’il soit. Avons-nous vraiment conscience des situations réelles dans lesquels nous nous trouvons ? Les apparences ne sont-elles pas reines ? Ne sommes-nous pas tous ensorcelés par ces mirages qui nous masquent la réalité ? Allégorie des illusions numériques si actuelles, l’auteur a voulu projeter l’aveuglement par l’apparence sur le théâtre de l’Europe d’il y a un siècle.