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La fissure

14.00

Sonia, jeune adulte rebelle qui étouffe dans son cocon familial qu’elle juge trop traditionnel, décide, sur un coup de tête, de tenter sa chance à Istanbul. 

Après un silence total de deux années, doublé de désillusions, Sonia décide de rentrer au pays. Mais durant son absence, les liens familiaux se sont déchirés. Les retrouvailles ne sont pas aussi euphoriques que prévues. Sonia a muri, son frère a tourné la page et sa mère l’a rayée de sa vie.

Remords pour les uns, vengeance pour les autres, ou pardon pour tous.

Une analyse de relations houleuses inévitables entre générations, conflits incontournables entre parents et ados, alternance de souffrance et de tolérance, jusqu’à ce que chacun trouve sa juste place.

La messagère de verre

15.00

Herveline a disparu corps et biens alors qu’elle naviguait dans le golfe de Gascogne. Des mois après le présumé naufrage, Loïc le skipper refuse d’admettre l’insupportable sentence, sa compagne ne reviendra pas.

Estelle, 17 ans, s’estime prisonnière à bord de l’Albatros, un luxueux ketch de trente-et-un mètres appareillant pour un tour du monde à la voile

Rien ne destinait ces deux-là à se rencontrer, pourtant une mystérieuse messagère va les réunir sur le voilier.

À bord d’un navire frappé d’une étrange malédiction, le skipper désespéré, les quatre membres d’une famille en souffrance, embarquent pour une odyssée voguant entre réel et fantastique. Contraints par le vaisseau de mettre leurs plaies à nu, ils vont devoir affronter les colères de l’océan mais aussi l’enfer d’un huis clos s’évertuant à débusquer les vérités inavouées.

La nuit du rozier

15.00

Vicky est une lycéenne de dix-sept ans, scolarisée au lycée du Forez. Rockeuse et rebelle, elle porte un regard désenchanté sur la société. Pour s’évader, le temps de s’inventer un soupçon de sérénité, elle tape sur sa batterie à s’en briser les poignets. Elle boit aussi, souvent beaucoup trop.

Elle ne fait pas la fête, elle fuit. Elle fuit ses parents, ses copains, ses profs. Elle fuit tous ces autres qu’elle refuse de comprendre. Quand l’alcool la prend, elle guette le fugace instant d’accalmie qui la rassurera même si elle sait que jamais il ne dure.

À son terme, libérée de toute entrave, elle se permettra n’importe quoi.

Ça lui fait peur parfois, mais ça ne l’arrête pas. Un soir de juin, malgré les rires, les jeux et les défis insensés, elle se perd dans la sombre nuit du parc du Rozier.

Le pont sur la Bidassoa

19.90

Chronique d’une émigration.

« Voici un très bon roman retraçant le cheminement d’une famille espagnole qui va se fondre dans le creuset français.

Sur le fond des évènements de 1916 à 1945, Dany Ribes brosse une belle fresque écrite talentueusement. Intéressant. » Raymond Ruffin (Critique Littéraire).

« Une riche trame humaine. » Alexandre de la Cerda (La semaine du PAYS BASQUE).