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Amy libérée

16.90

Une amie aime en tout temps et dans le malheur elle se montre une sœur.

« Le dessin sur la feuille de papier est resté sur la table. Amy s’y est représentée.

Elle me fixe de ses grands yeux noirs. Ses cheveux bouclés auréolent son fin visage en une toison impressionnante. Elle a posé son index sur la bouche, et ses lèvres forment le mot “chut !”.

Derrière elle, elle a dessiné une silhouette menaçante. Je le reconnais bien, c’est Mat, son cousin. Il est debout, il la regarde avec colère. Dans ses mains il tient une ceinture qu’il a pliée en deux. Je frémis d’épouvante en fermant les yeux.

– Encore en train de regarder ce dessin maman ?
– Quel dessin ? demande Shall.
– Celui qu’Amy lui a fait. Regarde comme il est beau. »

Au nom de la Liberté

18.00

Année 2068.

La France est en ruine. La population est presque entièrement anéantie. Les radiations rendent inhabitables les décombres de la capitale, « la Ville Morte » tel est devenu son nom. Et par-delà ses limites, aucun survivant ne s’est jamais rendu. Personne n’est parvenu à traverser le Mur qui encercle la ville. Nul ne sait avec certitude ce qui se trouve derrière, bien qu’il semble évident que le reste du monde soit resté intact.

Du côté de la capitale, du moins ce qu’il en reste, la civilisation s’éteint. Plus de trente-trois ans se sont écoulés depuis que tout a basculé. Les routes ne mènent nulle part et les monuments tombent en poussière. À la Surface, seules les ruines de cette civilisation disparue demeurent, ainsi que les vestiges qui témoignent de l’existence passée d’une humanité qui court maintenant à sa perte.

Ce qu’il reste de la population demeure cloitré sous terre. La Surface, inhabitable et hostile, entourée par le Mur, empêche tout survivant de s’échapper de la capitale. On ne peut pas s’échapper de la Ville Morte, on ne peut que se cacher et attendre que celle-ci nous emporte, qu’elle nous tue à petit feu.

Tout semble perdu et malgré tout, parmi ces ruines, certains refusent de voir leur pays mourir. Ils continuent de se battre désespérément. Ils résistent tant bien que mal, animés par la perspective d’une vie meilleure, d’une vie sans la guerre.

Dans un ultime espoir, ils entreprennent leur dernière tentative pour s’en sortir…

Compartiments suspects

12.90

En ce mercredi noir de l’an 2000, à la SNCF, les banlieusards et provinciaux de la vallée de la Saône sont invités à prendre place dans le Paris-Bâle.
Ils n’ont aucune idée de ce qu’ils vont vivre à bord de cet express qui ne s’arrête pas.

Le grand carnassier blanc frappadingue, à la longue tignasse de feu, professionnel de la violence, qui terrorise les voyageurs, que fait-il dans le train ? Et qui a tué le magnifique balaise ébène ?

Le commissaire suisse, aseptisé, téléguidé, qui monte dans le train, suivi de ses inspecteurs attachés à ses guêtres, qui va procéder à l’enquête préliminaire, n’imagine pas ce qui l’attend et, surtout, qu’il va être confronté à un cas de conscience…

Ce livre renferme l’art de décrire des faits tragiques de façon comique.

Errances d’un pantouflard , Tome 3

16.00

Pour Yohann, c’est le temps du réveil difficile, le temps aussi de dresser le bilan de son propre naufrage. C’est enfin et surtout le temps des questions.

Englué dans les échos d’un passé trop brumeux, Yohann tente de comprendre ce qui lui est arrivé.

Ses souvenirs sont flous, presque effacés. Pour exorciser le tumulte, il doit revisiter le chemin parcouru. Cette exploration intérieure, sans concessions ni illusions, lui ouvrira parfois les yeux sur de douloureuses vérités. Ce périple lui était nécessaire pour oser s’aventurer sur une autre route.

J’écrirai à l’encre de ton sang

15.00

Suite à une douloureuse rupture, Iona, écrivaine de nationalité écossaise, décide de quitter Glasgow pour vivre à Portree, sur l’île de skye.

L’auteure, en manque d’inspiration, veut démarrer une nouvelle vie et espère renouer avec l’écriture. Iona a le coup de cœur pour un manoir habité auparavant par Grizel, une grande écrivaine à succès qui s’est suicidée. Bien que la rumeur coure, prétendant que le manoir est hanté par l’ancienne habitante, Iona, envoutée par l’histoire de cette maison, décide de l’acheter et d’y résider.

Elle qui ne croit pas aux fantômes, comment réagira-t-elle lorsqu’elle entendra des bruits inexpliqués et apercevra le fantôme de Grizel ? Que va-t-elle découvrir à propos de cette mort tragique ? Son futur roman sera-t-il le best-seller tant attendu par son éditeur ?

Jusqu’à ce que la mort nous sépare

17.90

Eva et Elie sont deux amies de longue date. Accompagnées de leurs amis respectifs et de leurs enfants, ces deux femmes se sont créé un univers de vie parfait.

Tandis qu’Elie a plutôt une vie ordinaire, de son côté, Eva travaille sans relâche à façonner cette famille que la vie lui a donné comme une deuxième chance. Elle est mariée à Marc et, ensemble, ils ont pu effacer les cicatrices que leur a laissées la vie, pour découvrir le véritable amour. Ils se sont promis de s’aimer pour le meilleur et pour le pire.

Mais sont-ils vraiment prêts à affronter l’épouvantable ? Leur amour et leurs amitiés survivront-ils aux épreuves qui les attendent ? Quand le passé surgit de nulle part pour entacher le présent, il est plus que vital de rester soudé…

L’inconnu du métro

21.90

Un roman réaliste : une fiction qui donne l’illusion de la réalité. Un livre qui se transforme.

Sur le fond de la vie à Paris, dans les années 1996-1998, Jessica Delmas vit une brûlante passion avec son compagnon Bruno Josserand, éditeur.
La rencontre pour le moins inhabituelle de l’inconnu dans le métro va donner à l’œuvre un tournant inattendu, irracontable…

« L’inconnu du métro est un livre de passion. L’amour, la détresse ou la multiplicité des sentiments nous conduisent dans des situations cocasses, même surréalistes.

Ce va-et-vient retient le lecteur en haleine.

Ce roman original, tant dans sa construction que dans son contenu, est agréable à lire sur ses 283 pages. » Christian Grente – le Républicain du Val-de-Marne.

Le pont sur la Bidassoa

19.90

Chronique d’une émigration.

« Voici un très bon roman retraçant le cheminement d’une famille espagnole qui va se fondre dans le creuset français.

Sur le fond des évènements de 1916 à 1945, Dany Ribes brosse une belle fresque écrite talentueusement. Intéressant. » Raymond Ruffin (Critique Littéraire).

« Une riche trame humaine. » Alexandre de la Cerda (La semaine du PAYS BASQUE).

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